Ça sonne comme un tube, parole à l’appui. Frais et rock’n roll, insouciant et dispensable, augmenté de la version instrumentale pour tout amateur de karaoké. Les Sexes Faibles et la « copine Caroline » sont sur la ligne de hasard et de chance. Un coup de poker comme un coup de bluff. Il peut suffire de peu pour entraîner la machine médiatique, tout comme il peut ne rien arriver avec la destination « oubliettes » qui s’inscrit à l’horizon. A l’écoute des cinq autres titres, hormis le constat d’une qualité d’enregistrement indéniable, les efforts d’écriture et de composition développent peu d’atouts en matière de personnalisation. Les jeux de mots type « Je ne vois plus Claire » laissent sceptique. Mieux vaudrait ne pas y prêter attention. Et la tendance « engagement » sur l’acceptation des différences (« Si j’avais un fils »), aurait mérité un meilleur traitement littéraire. Reste que Les Sexes Faibles semblent assumer leurs « faiblesses » !
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- De l’organisation de concerts aux interviews d’artistes il n’y avait qu’un pas. Plus de vingt-cinq ans de rencontres avec les artistes et toujours la passion de la découverte.
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